aigle127

je n'ai pas beaucoup de temps à vous consacrer mademoiselle, je vais directement au sujet, j'ai reçu le rapport du médecin légiste, il dit dans ce rapport que Melle Sophie Legrand était enceinte de deux mois, étiez-vous au courant de sa grossesse?

- bien sur que non ! je ne m'attendais pas du tout à ça commissaire, fis-je, n'en croyant pas mes oreilles, je suis très étonnée,

- pourquoi ? j'ai appris que vous étiez partie à paris avec elle

- mais ou avez-vous eu ces information ?

- je suis monté a paris voir les parents pour leur annoncer une mauvaise nouvelle , Mme Legrand étais dans tous ses états, elle ne croyait pas du tout que sa fille ai pu etre  assassinée , quand au père il était un peu plus calme, nous avons discuté un peu de sa fille, il m' a raconté que vous étiez aller avec Sophie a paris, voilà tout

- alors je n'étonne que vous n'avez rien vu d'anormal sur elle

- comment voulez-vous que je vois quelque chose, elle allait à la salle de bain toute seule pour s'habiller, et puis....... c'est .....c'était une fille très réservée, elle ne parlait jamais de ces choses-là

- mettons, dit-il, savez-vous si elle avait un petit ami?

- euh.....et bien non, commissaire, je ne sais rien du tout, mais je peux vous dire que, quand je sortais de chez moi le matin pour aller travailler, j'ai souvent croisé dans les escalier un jeune homme et je pense qu'il allait voir Sophie,

- s'il  n'a pas de nouvelle d'elle il viendra me voir, vous lui direz bien que le commissaire veut le voir assez vite

- oui, commissaire je ferais la commission

- ça vous dirait de m'aider dans cette enquête Melle Moulin ?

- vous voulez que je vous aide ? mais avec plaisir commissaire

- je voudrais que vous retourniez dans le parc pour me retrouver l'indice qui nous manque,

- d'accord commissaire je le ferais avec plaisir !

- bon à plus tard Melle Moulin "

je quittais le commissaire direction le restaurant pour dire à Alain ce que le commissaire m'avait confié

j'arrive au restaurant, je vois, Alain dehors en train de servir des clients, je m'approche de lui

" - OH ! véronique tu es sortie du commissariat, que t'a dit le commissaire ?

- figure toi qu'il m' proposé de retourner au parc pour trouver des indice

- c'est très bien , tu as loupé ta carrière, tu aurais du faire détective, me dit-il

 mais non Alain je fait ça pour rendre service au commissaire

 - bon , alors qu'est-ce qu'il t'a dit ?

- avant de te dire, je voudrais te poser une question Alain

- je t'écoute

- c'est au sujet de Sophie, j'ai eu l'impression que tu la connaissais, dis moi la vérité Alain

- c'est vrais  je t'ai menti

 AH ! je savais bien, que tu me cachais quelque  chose

 - tu l'as rencontrée comment ?

- elle est rentrée tout simplement dans le restaurant , elle s'est installée à une table, je lui ai demandé ce qu'elle voulait manger, elle m'a dit qu'elle avait rompu avec son petit ami, qu'elle avait beaucoup de peine

- elle t'a dit son mon ?

 OUI il s'appelle Arthur Leroc, il fait le même métier  qu'elle deux mois plus tard, on est sorti ensemble

tu savais qu'elle était enceinte ?

- OUI , bien sur, elle me  la annoncé la semaine dernière

- alors c'est toi le père ?

- OUI

- il faut aller voir le commissaire pour lui dire que c'est toi le père  !

- oui, j'irai demain matin sans faute véronique , mais crois moi, ce n'est pas moi qui l'ai tuée

- je te crois Alain, j'ai bien vu dans tes yeux que tu l'aimais beaucoup "

le lendemain, le commissaire me téléphona en me disant qu ' il avait reçu le rapport sur Sophie. il me demanda poliment de venir le voir. je lui répondis que j ' arrivai tout de suite.

 le commissaire était à deux rues plus loin, pas très loin de chez moi. avant d ' aller voir le commissaire, j ' allai passer voir mon vieux copain Alain, qui travaille dans un restaurant, je voulais tout lui raconter et aller après voir le commissaire Alain était au comptoir, je m ' avançai vers lui

" OH, Véronique, quelle surprise de te voir là ! tu vas bien ?

- Non , pas tu tout,

- qu ' est ce qui ne va pas? dis-moi Véronique

- dans mon immeuble il y avait une jeune fille, elle s ' appelait Sophie je t ' en ai parlé

- oui , et alors, que se passe-t-il  ? me demanda-t-il

- on l'a retrouvée morte dans le parc,

- ce n ' est pas vrai, dis-moi que ce n ' est pas vrai !

- si Alain , elle est bien morte, pourquoi tu la connais Sophie ?

 non, pas du tout Véronique, tu sais bien que je suis marié depuis des années avec Béatrice

- mais quand même Alain , tues bizarre,......."

- il changea de conversation

" tu va aller le voir le commissaire, me dit-il

- je vais y aller tout de suite, tu veux venir avec moi ? lui demandais-je

- non, je n ' ai pas le temps, il y a beaucoup tros de monde, vas-y toute seule , tu me diras ce que le commissaire te dira

- trés bien, au revoir Alain,"

arrivée au commissariat, je dis au policier que j ' avis rendez-vous avec le commissaire

" je vais lui téléphoner, votre nom s 'il vous plat ?

- Véronique Moulin "

- attendez cinq minute

puis, quelques minutes plus tard, le policier m ' appela

" il vous attend dans son bureau mademoiselle  Moulin

- Merci

je traversai le couloir, j ' arrivai devant la porte du commissaire je frappe, j ' entends " entrez ! "  j 'entrai doucement dans le bureau du commissaire, intimidée par l ' endroit

" bonjour commissaire , commençais-je

- ce n est pas que je n ennuie avec vous mais je vais faire pareil, je suis un peu fatiguée moi aussi, je n ai pas l habitude de faire des voyages aussi longs, excusez-moi

- ce n est pas grave Véronique on comprend très bien, allez vous coucher toutes les deux, ça ira mieux demain

bonne nuit à tous, dis-je"

le lendemain matin,  nous étions en pleine forme, quand je descendis dans la cuisine, Sophie était avec madame Blanc qui était en train de préparer le déjeuner

- madame Blanc demande a Sophie qu est-ce que vous allez faire aujourd hui?

- je vais emmener Véronique voile la tour eiffel, aprés si on a le temps je l emmènerais voir la bibliothèque national

- tout ça dans la même journée, m exclamais-je

oui, on n a pas beaucoup de temps le week-end passe très vite

- c est vrai,dis-je"

Sophie alla chercher sa voiture dans le garage, c est une chevrolet grise et décapotable, je montai dans la voiture, Sophie démarra aussitôt une fois à paris, nous avons pris les quais de seine, puis arrivées à la tour eiffel Sophie se gara sur le parking je lui demandais:

" tu l as escaladée S ophie?

pardon? lâcha Sophie certaine d avoir mal entendu

-n est-ce pas qu elle est magnifique? tu es montée au sommet?"

Sophie leva les yeux aux ciel

- euh......non soupira-t-elle, allez viens Véronique, on va prendre l ascenseur tu vas voir le tout paris

il y a des restaurants , des boutique de souvenir

- je vais acheter une tour eiffel, dis-je , et je mis à en chercher une sur l étal d une boutique de souvenirs

- tu viens avec moi ? me demanda Sophie

- oui j arrive, j en ai trouvé une avec des étoiles dedans, elle est très belle" puis , nous sommes monté au sommet de la tour , je regardai le paysage, on voyait les champs lysée le sacré-coeur

" c est vraiment beau à voir, je vais en rever cette nuit, dis-je à Sophie, il y a un parc en bas on peut y allez faire un tour Sophie?

- oui bien sur"

on c est arrête pour prendre un verre, cinq minutes plus tard  on est parti à la bibliothèque il y avait beaucoup de monde, je fus enchantée de voir autant de livres, il y avait même des ordinateurs

les heures passèrent vite, il était déjà vingt heures quand nous sommes sorties de la BNF -" ça tombe bien me dit Sophie, tu vas pouvoir voir la tour eiffel illuminée" tandis que la chevrolet accélérait , j aperçus le phare de la tour eiffel qui balayait les toits de paris de son long rayon circulaire

" c est merveilleux de voir une aussi belle tour eiffel la nuit, dis-je

" maintenant il se fait tard on va rentrer, annonça Sophie,"

lorsque nous arrivames devant la maison, Mme Legrand était dehors elle vint à notre rencontre

" alors les filles, la journée s est bien passée?

- très bien Maman, Véronique était très heureuse de voir la tour eiffel la nuit

 je suis bien contente pour elle , dit-elle"  le lendemain matin vers sept heures, Sophie me réveilla je lui demandai pourquoi on se levait à cette heure, si tôt

" j ai oublier de te dire je doit partir en italie pour mon travail

- oh, ce n est pas grave je pense que la prochaine fois ça sera beaucoup mieux, tu as prévenu tes parents qu on s en va de très bonne heures Sophie?

- oui je les ai prévenus hier soir

- alors je vais faire ma valise , dis-je"

pendant le voyage Sophie me dit:

" tu es très gentille Véronique tu ne rouspètes pas du tout, tu es vraiment une bonne copine toi,

toi Sophie tu a un caractère très réservé mais aussi très généreuse et ça j aime bien"

je lui dis qu on n avait pas parlé beaucoup toutes les deux et que  j aurai voulu savoir si elle avait un petit ami, elle répondit qu on  parlerait de ça plus tard et qu elle me dirait tout mais depuis ce jour-là je n'ai plus revu Sophie

nous arrivames chez les parents de Sophie, le taxi nous déposa au portail, nous avons marché dans l allée, il y avait beaucoup de fleurs magnifiques, arrivées à la porte Sophie sonna, une femme vint nous ouvrir,

" OH ! quelle surprise de vous voir Sophie !

- bonjour madame blanc, je vous présente Véronique Moulin, elle va passer le week-end avec nous,

- bonjour Véronique, dit-elle, je vais prévenir vos parents que vous etes arrivées",

M et MME Legrand étaient trés contents de voir leur fille,

" bonjour Papa Maman ! s exclama Sophie

-bonjour ma fille ! ça va ? dit Mme Legrand,

- oui Maman

- je te présente Véronique Moulin

- enchantée de faire votre connaissance, me dit-elle, Sophie nous a parlé beaucoup de vous

- c est trés gentil, je suis ravie de vous rencontrer, lui dit-je

vous aviez fait bon voyage ?

- oui sa va

- je vous ai préparé une chambre pour deux

- ça ne te dérange pas Véronique qu on soit toutes les deux dans la meme chambre ?

- OH , non pas du tout

- c est très bien dit Mme Legrand

- Maman, on va défaire les valise on descend tout de suite

- très bien les filles on vous attend dans la salle a manger

il était déjà vingt-heures , cinq minutes plus tard nous descendions dans la salle a manger, et avons pris place à la table, Madame Blanc arriva avec les plats, il y avait une salade composée, un rôti avec des pomme de terre et un gâteau aux fraises, ce fut très bon le dîner terminé, nous sommes passée dans le salon pour prendre le café et nous avons discuté jusqu à onze-heures, les parents de Sophie étaient très gentils, soudain Sophie se leva de sa chaise et elle leur dit:

- je vais aller me coucher je suis très fatiguée, Véronique tu n es pas obligée de me suivre tu peux rester avec mes parents dit-elle

je remerciai le commissaire, puis il partit

ce soir-là, je suis allée me coucher tôt, mais une heure plus tard je me réveillai en sursaut, je voyais Sophie par terre, et l image revenait sans cesse, c est dur de savoir que sa meilleure amie a était assassinée, je me levai et allai à la cuisine pour prendre un verre d eau, je suis restée un moment assise sur une chaise puis voyant l heure tourner, je me suis dit que j allais me recoucher,

je me souvenais que Sophie m avait invitée à passer le week-end à paris, c était la première fois que je quittais Montpellier, j étais trés heureuse de voir paris

nous sommes partie le vendredi àprés-midi vers seize-heure, Sophie avait appelé un taxi,

le taxi arriva prit nos valise et les mit dans son coffre, nous nous sommes installées dans la voiture, le chauffeur démarra direction la gare de Montpellier, arrivées à la gare Sophie me dit" tu m attends sur le quai, je n en ai pas pour longtemps, je vais chercher les billets au guichet", quelques minutes plus tard les hauts parleurs annoncèrent que le train allai bientôt partir pour paris, Sophie arriva avec les billets, nous sommes montées dans le train et avons pris nos places, à peine installées que le contrôleur demanda les billets , Sophie sortit les deux billets, le contrôleur nous souhaita un bon voyage

quelques  heures plus tard, nous arrivâmes enfin à paris, à la gare de lyon, nous avons pris le RER, il y avait quatre stations, ce ne fut pas très long, arrivées à maisons-alfort, nous avons pris un taxi,  j ouvris la fenêtre pour regarder dehors, dans la ville l effervescence commençait seulement à s apaiser, un serveur déposait  un sac poubelle sur le bord du trottoir, un couple d amoureux serrés l un contre l autre, plus tard une fois sortis du centre-ville, l air embaumait le jasmin,

je donnai donc les coordonnées des parents de Sophie et les miennes à son adjoint, puis, le médecin légiste arriva, il commença a examiner le corps de Sophie, après quelques minutes, le commissaire se dirigea vers lui,

" bonjour Jean qu est-ce que tu peu me dire sur cette jeune fille?

- elle a reçu un coup sur la tête mais elle n est pas morte sur le coup il l à poignardé dans le dos

penses-tu que c est un viol?

je ne crois pas au viol, je suivrai plutôt la thèse du crime pour autre motif

qu on emmène le corps à l institut médico légal, pour être autopsié

je te préviendrais quand j aurais fini l autopsie,

 j y pense bien alors bonne journée, "

les hommes commencèrent à fouiller les alentours pour retrouver les chaussures et le couteau

- le commissaire demanda alors:

-avez-vous retrouvé le couteau?

- non, il n y a rien du tout autour commissaire,

ce n est pas normal, il faut continuer à chercher,

- oui commissaire, si on trouve des indices, ou peut-on vous joindre?

- je serais au commissariat",

il allait partir lorsqu il aperçut que j étais toujours là, il s avança vers moi, et me demanda:

" voulez-vous que je vous raccompagne? "

je répondis par l affirmative bien que j habite à deux pas, je ne pouvais me résigner à partir, voyant Sophie là, comme ça..... ce que je dis au commissaire lors du court trajet, arrivés devant l immeuble, il me dit qu il ne pouvait pas rester avec moi, car il avait dit à ses hommes  qu il serait au commissariat, il me souhaita bon courage

je regarde autour de moi, s il y avait encore du monde, mais les gens étaient partis avec les enfants, je me suis mis à genoux pour lui arracher le morceau de papier, je jette un coup d oeil sur le papier: il y est écrit " il m a tuée A " je l ai mis tout de suite dans ma poche.

j eu à peine le temps de me relever que la police arrivait sur les lieu du crime, ils commencèrent à délimiter le périmètre du crime, un policier s approcha du corps pour examiner la jeune fille, soudain il leva les yeux dans ma direction, il s avança vers moi, il se présenta:

" je suis le commissaire André belvue, je vais mener cette enquete, comment vous appeller-vous,? me demanda- t-il

- je m appelle Véronique Moulin

- et qu est ce vous faites ici?

- je..... j étais venue me promener..... mais je connais cette jeune fille,

- alors vous savez comment elle s appelle?

- oui, elle s appelle Sophie Legrand, - avez-vous vu dans les parages, une femme ou un homme bizarre roder autour du corps?

- nom, commissaire je n ai rien vu,

- savez vous si elle avait de la famille ?

- oui je connais ses parents,

- donner-nous leurs coordonnées qu on les prévienne et les votre aussi, mon adjoint est là,"

je suis entée dans le sous bois et je vis effectivement la jeune fille allongée sur le coté, sa tete étais dans une marre de sang, ses vetement étaient aussi éclaboussées de sang, elle n avait plus ses chaussures aux pieds j ai vu dans son dos quelle avait une grande cicatrice ( elle a du etre poignardée) , son corsage était déchiré tout comme sa jupe, on aurait pu penser qu elle s était faite violer, mais apparamment, non, il s agissait bien d un crime, elle était tellement amochée que j ai eu du mal à la reconnàitre sur le coup.... je m exclamai: " oh !mon dieu mais c est sophie qui est par terre!  elle n avait dit quelle partait pour l italie elle ma menti mais pourquoi  j avais confiance en ellle , qui a bien pu faire ça, " j aperçu alors qu elle tenait un morceau de papier dans sa main gauche,

mon jour de congé c est le mercredi, devant mon immeuble il y a un grand parc et de l autre coté un lac ( et des oiseaux qui chante), j aime bien me promener dans ce parc les mercredi,

donc , il était deux heures de l après midi, je me suis dit due j irais bien  un tour au parc, j ai vu quelques enfants qui jouer avec l eau de la fontaine, et les parents les surveillaient,

Ah , oui ! je ne vous est pas dit qu il y a un sous bois dans ce parc, des personnes s y étaient installées, car la température était moins élevée, c est un endroit très apprécié par des personnes âgées,

soudain j entendis des cris dans le sous bois, les gens se mirent à courir comme des fous, les enfants faisait de même,  certains gens sont tombés par terre, mais il n y avait aucun blessé,  je me suis dit qu il a du se produit un grave accident dans le sous bois,

j arrete une femme je  lui demande

" pourquoi courez ? " elle me répond "  il y a une jeune fille allongé par terre

je vais prévenir la police, "